En 2007, une armée d’ordinateurs piratés issus de plus de 178 pays lançait une attaque sur l’Estonie, causant un préjudice économique de plusieurs dizaines de millions d’euros. A la mi-2012, le groupe de hackers Anonymous a annoncé son intention d'attaquer le troisième plus grand fournisseur d'accès à Internet d'Australie en raison de la trop longue conservation et de la mauvaise sécurisation des données des clients. Enfin, sur le site du FBI, sont actuellement placées, sous l'intitulé 'cyber crimes', des photos de plusieurs personnes recherchées pour diffusion d'images pédopornographiques, fraude bancaire, fraude relative au courriel et autres infractions cybernétiques.
Quelles sont les menaces de cyberguerre, de cybercriminalité, de cyberespionnage et d'hacktivisme ? Comment pouvons-nous réagir à ces menaces ? Quelles sont les implications juridiques ? Quelles initiatives les services belges ont-ils prises et quel est le point de vue politique ? Devons-nous craindre un Pearl Harbour numérique ou devons-nous plutôt nous préparer à un assaut silencieux sur nos services, nos entreprises et notre économie que l'ancien conseiller américain pour la sécurité Richard Clarke décrivait comme une 'death of a thousand cuts'. Et qu'en pense-t-on hors de nos frontières ?
En 2007, une armée d’ordinateurs piratés issus de plus de 178 pays lançait une attaque sur l’Estonie, causant un préjudice économique de plusieurs dizaines de millions d’euros. A la mi-2012, le groupe de hackers Anonymous a annoncé son intention d'attaquer le troisième plus grand fournisseur d'accès à Internet d'Australie en raison de la trop longue conservation et de la mauvaise sécurisation des données des clients. Enfin, sur le site du FBI, sont actuellement placées, sous l'intitulé 'cyber crimes', des photos de plusieurs personnes recherchées pour diffusion d'images pédopornographiques, fraude bancaire, fraude relative au courriel et autres infractions cybernétiques.
Quelles sont les menaces de cyberguerre, de cybercriminalité, de cyberespionnage et d'hacktivisme ? Comment pouvons-nous réagir à ces menaces ? Quelles sont les implications juridiques ? Quelles initiatives les services belges ont-ils prises et quel est le point de vue politique ? Devons-nous craindre un Pearl Harbour numérique ou devons-nous plutôt nous préparer à un assaut silencieux sur nos services, nos entreprises et notre économie que l'ancien conseiller américain pour la sécurité Richard Clarke décrivait comme une 'death of a thousand cuts'. Et qu'en pense-t-on hors de nos frontières ?
Lors de cette journée d'étude, les thèmes suivants seront abordés (programme sous réserve) :
Les orateurs de ce colloque viennent de Belgique, des Pays-Bas et des Etats-Unis et sont issus du monde du renseignement, des Forces armées et des milieux académique et politique.